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L'Auréole des Satyres

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12 Août 2016, 10:38am

Publié par N.S

Visite du Palais Éphémère, où a lieu Art Capital 2023, du 15 au 19 Février. Au-delà du Salon « Comparaisons », « Dessin & Peinture à l'eau », « des Artistes Français », le Salon des Indépendants ouvre ses portes, offrant régulièrement, chaque année, un panel éclectique d'artistes, provenant de la Terre entière, concevant le Monde depuis son origine jusqu'aux perspectives d'avenir. Visite de Paris : Palais Royal, Montmartre, Pigalle, Boulevard Haussmann, Opéra, Villette, Montparnasse, Champs-Élysées, Rivoli, Louvre, Hôtel de Ville, Bastille, Fondations Cartier, Luis Vuitton, Musées Dalí, Picasso, Hôtel Jacquemart-André, curiosités touristiques et culturelles : la Tour historique de Jean Sans Peur, non loin du Musée de l'Illusion, à l'Est de la Place des Victoires, le long de l'Avenue Étienne Marcel, le petit Musée de la vie romantique, au Nord-Est du Square Étienne d'Orves, au-dessus du Musée Gustave Moreau. Autour de la Place des Vosges, la Maison de Victor Hugo, plus à l'Ouest, le Musée Carnavalet, qui a une importante collection d'Art à présenter au public. Toute une myriade de détails enchanteurs qui font le charme teinté de folie de la vie parisienne. Puis, réception, à l'Hôtel Paris Le Grand, le 18 Mars, du Grand Prix des Lettres de l'Académie des Arts-Sciences-Lettres de la capitale. Depuis la Gare Saint-Lazare jusqu'à l'Opéra Garnier, je ne peux m'empêcher d'aimer Paris, quand je m'y rends, comme s'il y avait quelque chose de hiératique et d'inoubliable qui en orne les quartiers, les toits, les enseignes qui défilent, malgré les « imprévisibles inconvénients d'y vivre », au quotidien, à altérer le plus brave des enthousiasmes. Aimer et ne pas aimer, n'est-ce pas la meilleure façon de la connaître ? Je me surprends à prendre plaisir à marcher sur les trottoirs des rues, boulevards et avenues quand il pleut : la mélancolie qui les habite est comme sublimée de lumière, et cette beauté-là vous éveille à une poésie « du réel ».

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Durant l'Été et l'Automne consciencieux, présentation de l'ouvrage : Sauvons les migrants, sous-titré : « anthologie poétique humanitaire », aux éditions Parole & Poésie ; la cause est juste, quand l'empathie maintient l'esprit sur les rails de l'Humanité. La passion nous dit, par ailleurs, après un certain âge : « mets en valeur l'essentiel ! » (numéro 169 de L'Albatros, daté d'Avril 2022). Publication d'un poème intitulé La solitude, au sein de l'Anthologie de la Société des Poètes Français de 2022, participation à la remise des récompenses du Grand Prix Arthur Rimbaud 2022, au Cercle National des Armées, à Paris ; c'est toujours l'occasion de faire de nouvelles rencontres, d'en conforter certaines – parmi les poètes français, notamment ; appréciation de la performance d'artistes, dans les domaines de la Mode (Bei Chen), la chanson (Abou Nidal) et la musique. Dans le même temps, j'ai inséré un article au sujet d'Arthur Rimbaud, dans Rose des temps, à propos de l'art du sonnet, au sein du n°43 de 2022, cherchant à replacer, historiquement, à partir de la correspondance de l'auteur, des multiples introductions et biographies le présentant, La maline dans le rapport des voyages effectués entre le Nord de la France et la Belgique, au moment de l'écriture du poème.

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Article au sujet de Pierre Boiteau dit Piboi, dans le Numéro 135 des Lettres Normandes de la Société des Écrivains Normands, historien, enseignant, caricaturiste, qui s'est particulièrement intéressé à la vie quotidienne honfleuraise. Il fut bien entendu un compagnon de voyage, avec mon frère aîné, à travers l'Europe, et en même temps une personnalité pointant d'un esprit sarcastique et gouailleur la « folie » du « paraître » chez l'être humain. Il s'est passionné pour l'histoire locale de la Côte Normande, mais a manifesté une curiosité intellectuelle vivace pour le domaine de l'« insolite » et l'ésotérisme, éveillant l'attention sur ce qui ne nous apparaît pas ostensiblement à la lumière du jour. Il avait bien commencé par faire des recherches en Histoire ; les mémoires s'étaient tôt transformés en essais, puis en études passionnées, privilégiant le « plaisir d'apprendre et de transmettre » à toute forme de convention fatale au charme de l'originalité. Il n'a, à mon observation, jamais été porté sur les honneurs, ce qui l'intéressait davantage, je crois, c'était de prendre l'existence pour un divertissement, un parc d'attractions, une espèce d'escale ou de moment de liberté gratuit, et ce loisir tout à fait récréatif pour la pensée suffisait à son bonheur. Bien sûr, il s'est avancé gaiement sur la terre fertile du Savoir, bien qu'il accordât un rire franc à toute remarque extérieure, qui lui rappelait maintes absurdités en ce Monde, qui, par ses yeux, méritait qu'on le prît gaiement à sa juste valeur, c'est-à-dire avec dérision, sous le jeu masqué, apparent, des actes et des mots.

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Avec mes amis du Montparnasse, et de la Province, à Paris, pour assister à l'hommage des cent cinquante ans de la naissance de Paul Fort, poète français, bien entendu, au Standard Rive Gauche, vers le Métro Duroc. C'est l'occasion parfaite pour visiter le Musée Gustave Moreau, non loin du Square d'Estienne d'Orves, et flâner du côté de l'Avenue de Breteuil, près de l'Hôtel des Invalides. Je me demande souvent quelle est la vision, loin de toute idéalisation, la plus réaliste du Poète. Peut-on avoir une vision ? Qui peut se prétendre véritablement poète ? Je vois toujours autour de moi des monticules de brouillons ; certaines œuvres publiées, d'autres, non. Des textes, qui, pour moi, auraient mérité d'être connus, qui ne le seront pas, d'autres, qui sont plus connus, en toute bonne foi, qui me paraissent avoir été choisis là dans le lieu adéquat, au meilleur moment, avec l'esprit le mieux disposé. Certes, l'étude compte aussi, et cette reconnaissance est sans doute la plus importante. Il y a des ouvrages retravaillés, d'autres, qui sont demeurés dans leur premier jet. Écrire, c'est créer en permanence. Rien n'est jamais conçu, tout n'est jamais fini. Cette perpétuelle interrogation qui nous rend humbles nous apprend à quel point tout est perfectible, sans savoir jusqu'où, jusqu'à quand. On sait juste qu'il n'y a pas d'achèvement à une phrase poétique qui commence, et que la poésie est justement là, dans cette espèce de continuité que le lecteur élargit à son horizon.

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J'ai eu le grand plaisir, au mois de Mars, de me rendre à Paris, pour le Prix Roger Pinoteau 2022, décerné par l'Académie des Arts-Sciences-Lettres à l'Hôtel Intercontinental Paris Le Grand (j'ai obtenu, un mois plus tard, le Prix Jacques-Marie Rougé pour le recueil Un point de lumière dans l'allée vide, de la part de L'École de la Loire).

C'était pour un poème classique, selon les règles traditionnelles ; j'avais pris ce challenge pour un jeu, et je crois que c'est une approche bénéfique. C'était aussi, peut-être, pour me convaincre que j'étais capable de m'adapter à un art précis, qui régit la poésie « classique ». Je vois tout d'un point de vue évolutif, ce qui explique pourquoi je ne m'attache à aucune forme de conception définitive. Je suis heureux qu'une structure se bouleverse, qu'un rythme change, qu'un ton se révolte, et j'aime me plier à cet « effort sans effort ». Pourtant, il arrive, il est vrai, que l'effort ignore sciemment l'effort pour concrétiser avec plaisir toute forme de résultat probant. J'ai inséré par ailleurs quelques poèmes dans L'Albatros, les Anthologies Flammes Vives, L'Étrave, notamment, avec une critique de l'excellent ouvrage du jeune poète Falmarès aux éditions Les Mandarines, au sein de la revue Rose des temps.

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Katayoon Firouzi - artiste contemporaine - sur "Contemporary Art Curator".

Innocent Tuy Mwendo, lauréat du Prix Mfumu Buku de Kinshasa, au Congo, avec les éditions Colline Inspirée. L'ouvrage en question - dont j'ai pris plaisir à rédiger la préface - est relativement caractéristique de l'approche de l'auteur, littérairement parlant : on touche la réalité, les évènements, vecteurs de joie ou de tragédie, du "bout des mots". Ce qu'il y a d'original et de particulier, chez I. T. Mwendo, c'est le "véritable vécu" du monde extérieur ; on y trouve les aspects d'un rapport journalistique, sans sombrer dans le fantasme imaginaire. S'y perçoit le témoignage d'une fusion relationnelle avec l'environnement, qui octroie à son vers une certaine authenticité de l'"inspiration" : on cueille ainsi plus concrètement et charnellement cette poésie de l'Afrique et de la terre natale.

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Simple retour sur la réunion de la Société des Écrivains Normands, le 4 Décembre 2021, à Lisieux. Rappelons que Frank Buleux en est l'actuel président, ayant succédé à Claude Leroy. Nous nous devons de mentionner que la Société dite fut fondée en 1923 par Charles-Théophile Féret, dans la maison de Lucie Delarue-Mardrus, à Honfleur. Au départ, s'inspirant de la Société des Poètes Français, elle aurait dû s'appeler la « Société des Poètes Normands », mais l'activité littéraire Normande, ouverte à la prose, notamment le roman, l'essai ou la biographie, eut raison de cette spécificité toute ordinaire. Elle compta des membres des Académies Française et Goncourt, encore aujourd'hui, de diverses Sociétés savantes à travers le Monde. Brigitte Vivien avait obtenu le Prix Louis Bouilhet 2021 avec Des mots en mosaïques, pour le domaine de la Poésie. Ce fut au tour de Michelle Brieuc de se voir attribuer le Prix Gustave Flaubert pour Le Bar de l'Odéon, paru aux éditions des Falaises, tandis que La fiancée de l'Amérique de Laetitia Rice, À la table de Flaubert de Valérie Duclos et Guillaume Czerw, de la même Maison, ainsi que L'affaire Levasseur de François Fouquet, aux éditions L'écho des Vagues, ont reçu une mention spéciale. S'ensuivit une conférence intéressante et instructive sur la méthodologie criminelle dans l'écriture de François Fouquet ; les enquêtes à l'origine des récits policiers mêlent effectivement l'étude des dossiers d'instruction, de Cour d'Assises, des rapports journalistiques de plus de 70 ans, des témoignages locaux d'habitants présents, qui connurent alors les événements d'une certaine époque. Est prise en compte l'évolution des procédés criminologiques, depuis le système anthropométrique d'Alphonse Bertillon (1853-1914) vers l'identification individuelle grâce aux empreintes digitales. Ce fut notamment l'occasion de comparer les approches poétique et prosaïque, via l'activité scripturale : ainsi, les romanciers auraient tendance à utiliser davantage l'ordinateur pour rédiger dans un premier temps, puis corriger ensuite, le « premier jet » d'un récit, parce que la pensée se retrouve plus rapidement et synchroniquement dans les mots, hormis lorsqu'il s'agit de prendre des notes lors d'investigations, sur le vif du sujet, tandis que les poètes, malgré la spontanéité de l'inspiration, favoriseraient davantage, d'abord, le format papier, dans une certaine patience de transmettre ce qui est révélé, ce qui peut être dû à l'art, et s'avère, bien évidemment, relatif. Chacun s'entend toutefois à reconnaître qu'il faut généralement un lecteur extérieur qui nous permette de réviser ce que l'on a produit, principalement, ce que l'on s'attend à avoir écrit, contenant le plus souvent une faute d'orthographe. Cet aveuglement bien connu de la subjectivité ouvre les yeux à propos de cette "fièvre originelle" qui nous gouverne, nous fait voir une vérité au-delà du verbe.​​​

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Avec le temps, j'ai peaufiné Le Foyer Universel, qui regroupe une introduction sur l'Art et la Poésie, des poèmes en vers contemporains, selon mon approche personnelle, un essai sur l'expérience et l'expression poétiques qui fut élaboré durant un voyage au Bénélux et au Nord de la France - Amsterdam, Rotterdam, Anvers, Gand, Lille, Amiens -, ayant obtenu deux prix différents en 2016 et 2018 ; à ce titre, j'ajouterai que j'effectuai cette réflexion indépendante de mes autres projets sur l'esthétisme, ayant trait aux autres domaines de la création, en compagnie de mon frère aîné, professeur d'espagnol, infatigable organisateur, qui nous fit voir musées de peinture et d'Histoire, monuments Belges et Hollandais, quartiers typiques et atypiques, et de Pierre Boiteau, historien et caricaturiste honfleurais, dit Piboi ; j'aurais tant à dire sur quelqu'un qui a une curiosité insatiable, et des réparties toujours insolites qui provoquent un fou rire qu'on ne parvient à réprimer en public. Il a écrit des articles dans le Pays d'Auge au sujet des secrets Normands, livres préfacés par B. Le Horzin, en tant que dessinateur, C. Dulong de l'Institut des sciences morales et politiques, quant à son travail de recherche historique, E. Aeppli, peintre et sculptrice d'origine Suisse, par sa curiosité culturelle, faisant partie des noms d'auteurs qui ont illustré le travail de mémoire du vieux port, près de la Seine. J'ai ajouté des axiomes que je rédige le soir, avant de me coucher, au crépuscule, ou avant l'aurore, me faisant réfléchir au destin de l'Humanité, ainsi qu'à l'éternel jeu de complicité entre la Mort et la Vie.

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Aimer se perdre, dans le Volume 1 de l'Anthologie Flammes Vives 2021, en compagnie d'autres poètes.

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De nouveaux poèmes publiés dans le Numéro 39 de Rose des temps, pour une republication (Existintensément, tiré du recueil Quatrains à vivre de 2012) et Le ciel dans le Numéro 165 de L'Albatros. Les textes en question s'intègrent toujours dans une réflexion sur l'évolution du vers français.

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Dans le numéro 164 de L'Albatros, publication de deux poèmes - L'Albatros a le mérite de publier des textes dont l'approche est personnalisée -, et dans Rose des temps, présentation de deux ouvrages, Un cri fendu en mille d'Yvon Le Men et La nuit des corps de Thomas Pontillo, à la verve prometteuse. J'ai été gâté cette année, puisque après le Prix Yves Bonnefoy de Flammes Vives et le Prix Claude Sorel de la Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie, j'ai eu le Prix du Conseil Départemental du Loir et Cher à l'École de la Loire.

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Un de mes poèmes, La coupe provinciale, ayant obtenu le prix Claude Sorel en 2020, parmi tant d'évènements actuels, publié sur le site de la Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie.

Un poème intitulé "Du vin" dans le volume 1 de l'Anthologie Flammes Vives 2020, "Vers de peau" dans celle des Flammes Vives de la Poésie 2020, et qui avait été proposé au concours annuel qui porte le même nom.

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Publication dans le recueil collectif du Pont de l'Europe du poème intitulé "Portrait taillé sur le vif" au sujet d'Arthur Rimbaud, avec illustration - comme il m'arrive d'en faire de temps à autre, notamment, autrefois, pour la revue Mil'Feuilles par Chemins -, tout à l'honneur d'un poète au talent sûr et à la pose marginale.

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Un poème, "Ta colère", publié dans le numéro 180 de Florilège, Prix de la Presse Poétique de la Société des Poètes Français 1994 ; il arrive parfois que des textes écrits jadis, souvent oubliés dans la mémoire de mes activités, ressurgissent en me faisant redécouvrir la particularité d'un trait d'esprit dans son contexte. C'est ainsi qu'ils peuvent accéder, pourrait-on dire, à une certaine pérennité de forme et d'intelligence, qui relève d'une parfaite cohabitation du lieu et du temps dans lesquels, par prescience, ils ont "pris réalité".

Insertion de deux de mes textes poétiques dans la revue Belge "Traversées", bien connue en France, sous l'égide de l'Académie Royale de Langue et de Littérature Françaises de Belgique, la Promotion des Lettres de la Fédération Wallonnie-Bruxelles, la Ville de Virton, conçue avec l'appui de la Province du Luxembourg. 

Une de mes études picturales et esthétiques au sujet de l'exposition d'Art Capital au Grand Palais, en Février 2020, dans les numéros 162-163 de la revue académique L'Albatros, autour d'une vingtaine de pages et d'une centaine de notes. Je remercie le directeur de publication Thierry Sajat, qui n'a pas hésité à montrer cette réflexion sur l'Art, malgré la longueur et la place que celle-ci peut imposer, étant matière à débat, et qui trouverait autrement, difficilement sa place dans le monde de la littérature actuelle.

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Entre la chaleur d'Eté, plutôt intense, et notre hôte contagieux, quelques critiques, parmi d'autres, dans le numéro 36 de Rose des temps - où Patrick Picornot a eu la sympathie et la générosité de rédiger un article sur mes quatrains et de présenter ma dernière oeuvre en date -, dont celles de l'ouvrage de Marie-Christine Guidon intitulé "Dans les broussailles du silence", Prix de Poésie de la ville de Dijon 2020, et de Jean-François Zanette, intitulé "Le tombeau de l'avenir", Prix Jean Aubert 2019, avec un compte-rendu du rendez-vous des poètes à Cabourg, en Mars 2020, avant le cloisonnement. Nous remarquerons que lorsque les poètes disparaissent, leurs noms sont toujours là. L'écriture s'affirme en un premier pas vers l'éternité.

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Nouveau poème publié dans le premier volume de l'Anthologie Flammes vives 2020, à une période où je suis en train de repenser la structure et la forme du vers, entre construction (art) et liberté (authenticité).

Un de mes poèmes, "Choc", Soliflore dans la revue "Nouveaux Délits", avec une photo de Gilles Bergeret.

Rendez-vous avec la Société des Poètes Français à Cabourg, découverte du patrimoine Normand et de nos auteurs de vers contemporains. Visite de Houlgate, appréciation gustative des coques de Cabourg, présentation d'ouvrages poétiques sous les barnums, intervention du groupe musical Trio Toucher, aux inspirations référant au haïku, avec des talents musicaux certains, une voix de chant pourvue d'une impressionnante tessiture. Dîner de gala en compagnie d'artistes de la Société des Poètes Français, comédiens ou chanteurs, avant que l'appel de minuit nous ramène à la réalité du coronavirus, avec la fermeture totale de nombreux lieux de rassemblement et de détente publiques, ce qui ne nous a pas empêchés de réciter des poèmes face à la mer, le matin, afin de faire un tour des noms que nous voyons paraître dans les revues et les livres, sans pourtant être capables de mettre un visage dessus.

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Je continue mes publications de panoramas européens, qui ont pour but d'apprécier l'angle esthétique, culturel et sociologique des capitales de l'Ouest. Le numéro 35 de la Revue Rose des temps introduit Paris, après Lausanne. Critiques du court recueil de Patrick Picornot intitulé "Dites trente-trois" chez L'Eglantier, "Depuis la cendre" de Gabriel Zimmermann aux éditions Tarabuste, avec des petits rapports de synthèse.

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Excursion à Paris, de la Défense à Vincennes, de Château Rouge à l'Odéon, visite studieuse du Centre Pompidou et du Musée d'Art moderne, en passant par le Musée Grévin, l'Opéra Garnier, le Palais de la Découverte, le Musée des Sciences, les Invalides, regard critique sur les oeuvres exposées au Grand Palais, lors de l'inauguration d'Art Capital, du 11 au 16 Février 2020, juste en face du Petit Palais, où je ne manque jamais d'aller me promener pour examiner la collection de mobilier, sculpturale et picturale.

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Silence de plomb, poème publié dans le volume 4 de l'Anthologie Flammes Vives 2019, avec une introduction de Jean Aubert. Je publie régulièrement dans cette anthologie depuis peut-être une quinzaine d'années, croisant des noms qui reviennent souvent : Christiane Hartweg, Johanne Hauber-Bieth, Pascal Lecordier, Jean Moraisin, Aumane Placide, Marianne Josette Rabiant, Marie Tissier, qui publiaient déjà avant moi. J'ai dû commencer à publier en revue quand j'avais vingt ans, à peu près, je n'ai pas cessé depuis, moins par conviction que par l'entraînement d'une certaine "force" des choses.

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Poème sur les mendiants de Paris - du métro, peut-être sur la ligne 14 entre Saint-Lazare et la Bibliothèque François Mitterrand -, tiré d'un de mes recueils, dans le numéro 34 de Rose des temps, avec une critique sur l'ouvrage de Christian Boeswillwald, intitulé "La tristesse des soleils", qui a obtenu le Prix Jean Aubert l'année dernière. J'ai même eu droit à une courte biographie. Je remarque de plus en plus que certains auteurs, qui avaient commencé à rédiger des vers en se focalisant sur le système classique, qui évidemment, en matière d'"art", s'avère des plus aboutis, commencent à "personnaliser" leur art ; mais l'"art", ce n'est pas forcément l'"époque". On peut parfaitement "appartenir" à son siècle en respectant des codes et des règles d'outre-tombe. La raison de l'évolution de cet art appartient davantage à l'esthétique du langage, dès que celle-ci recouvre une identité poétique. C'est dans le présent que l'on remue le passé pour concevoir l'avenir, et quand bien même ce dernier aurait un goût amer, il nous appartient de le relever, l'analyser pour le rendre meilleur, c'est-à-dire plus appréciable, car c'est dans l'appréhension du Monde, le contact à la Réalité, que l'on parvient à saisir les enjeux du temps et de l'espace, dont l'élargissement du champ de vision, dans l'activité, rend toute réalisation pérenne. Je regrette parfois l'absence, voire la disparition de revues qui ont fait l'actualité poétique durant de nombreuses années. Assurément, diriger une revue littéraire, particulièrement en Poésie, n'est pas seulement une question de volonté, c'est aussi un sacrifice, le plus souvent méritoire, relevant d'un pari osé d'invitation à la lecture.

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Article publié sur l'art contemporain, en collaboration avec Katayoon Firouzi, dans L'Albatros, représentant l'Académie de la poésie classique, par rapport aux travaux exposés à l'Albertina de Vienne ; il s'agit d'un débat autour du renouvellement de la représentation, allant de Brueghel à Warhol - au coeur d'une évolution picturale -, confrontant l'expression brute avec l'aspect constructif des oeuvres précédentes.

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Récente publication d'un poème dans le numéro 92 de la revue Belge "Traversées", qui a été primée par la Société des Poètes Français, la Province du Luxembourg et le Cénacle Européen, ce qui assez rare pour être souligné ; de plus en plus, je songe à la notion de "vers libre", en me demandant si véritablement, lorsque je conçois des vers dépourvus de leur carapace systémique, je les considère comme "libres" ; ne sont-ils pas plutôt trop vivement exprimés pour supporter une organisation qui en maintienne définitivement l'idée, le sens et l'orientation diffus, et qui les rendrait plus généraux que particuliers ?

Une anthologie poétique, "Constellation de la Lyre", où j'ai été publié, traduit en Russe par les soins de Valery Dvoinikov, où sont représentés la Belgique, la Russie, l'Allemagne, l'Ukraine, la Grande-Bretagne, la Suède, le Cameroun, le Maroc, la Chine, offrant une vision élargie de la Poésie dans le Monde.

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Nouvelle publication d'un poème dans le numéro 73 de la revue Poésie/première, où par-delà mes interrogations sur la "construction poétique", je favorise le vers "libre".

Dans la Poésie, domaine de prédilection qui aura concerné l'entière partie de ma période de jeunesse, publication récente de l'ouvrage qui suit les cinq précédents, "Un point de lumière dans l'allée vide", avec une introduction plus soutenue au sujet de l'évolution de la prosodie, et du renouvellement de l'art poétique actuel ; mon expérience poétique influant sur mon point de vue théorique. En plus des textes dont la forme et les thèmes sont variés, j'ai ajouté un court essai ayant trait à l'art critique, dont la conception et la réalisation me sont d'autant plus spontanément révélés à l'esprit, que j'avais passé mon temps à observer et étudier différentes œuvres picturales à travers l'Europe. Aussi, ai-je intégré un ensemble d'axiomes inédits, qui n'ont pas de rapport avec ceux que je présente au public, comme les poèmes, par ailleurs, puisque je distingue les vers ou la prose qui sont prévus pour donner une idée de ce que j'écris, représentant une infime partie de ma production littéraire, ceux qui sont publiés en revue ou anthologie collective, que je mentionne fréquemment, parmi plus de cent participations, et ceux, enfin, que je juge dignes d'appartenir à un recueil proprement dit, en dehors des récits, réflexions, essais, critiques et articles divers. C'est également un témoignage de mes convictions personnelles en matière d'Art.

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Mon intervention critique pour les ouvrages intitulés "A la lisière des enfantements" de Stephen Blanchard aux Editions France Libris, préfacé par Patrice Breno, et "Là où il fait si clair en moi" de Tanella Boni, aux éditions Bruno Doucey, Prix Théophile-Gautier 2018, dans le numéro 33 2019 de la revue Rose des temps.

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Nouvelle récompense de l'AIEL pour 2019, avec le 1er Prix de la Nouvelle, le Prix Pierre Sala pour la Poésie libre, le Prix Charles d'Orléans pour "Sonnets d'alarme", ainsi que le Grand Prix de l'Académie Guillaume de Lorris. Les Arts et Lettres de France m'ont gratifié d'un Troisième Prix pour un essai sur la musique.

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Dans le numéro 174 de Verso, publication d'un récit fantastique, "La paire de lunettes", rédigé plusieurs années auparavant. Il est juste qu'en dehors de la Poésie, des articles et des critiques, il y avait longtemps que je n'avais pas fait paraître, après "L'invasion des gobelets" et "L'évasion", en 2007 et 2008, au sein de Mil' Feuilles par Chemins, quelque fruit de mes amours avec le domaine de l'insolite.

Un de mes poèmes, "Invitation", publié dans le N°32 de la revue Rose des temps, avec un pensum sur Lausanne, en Suisse, quant à la perception poétique de l'environnement dans la capitale romande, ainsi que les critiques de "Chansons d'automne" de Pierre Clermont, et "Requiem de guerre" de Frank Venaille.

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Poème "Mémoire morte" publié dans le volume 3 de l'Anthologie Flammes Vives 2018.

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"La fatigue du repos", dans le deuxième volume de l'Anthologie Flammes Vives du premier semestre 2018.

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Un poème, "Un vide", publié dans Rose des temps, un article sur le sonnet et le haïku, un compte-rendu sur le rendez-vous des poètes français à Cabourg, deux critiques, l'une sur "Invention de la terre" de Philippe Delaveau, l'autre sur le recueil de Jean-Loup Seban, L'Epopiade & L'apolloniade" (2015 et 2017).

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Florilège 2018 de l'Ecole de la Loire.

L'Académie Internationale Ecole de la Loire m'a décerné le Prix René d'Anjou en 2018 - Prix d'Honneur du Recueil, Premier Prix de l'Essai, la citation, la plus belle lettre, Deuxième Prix de Poésie Libre, Prix du Jury de la Rime -, dont la majeure partie sera publiée ultérieurement, en revue ou éditions.

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Rencontre poétique d'artistes à Cabourg, les 9 au 11 Mars ; ce fut l'occasion de présenter la Poésie au public, mais aussi d'unir un grand nombre d'écrivains, de peintres et musiciens autour de débats et de discussions mettant en valeur l'Art, en général. J'ai ainsi pu faire la connaissance de Jeannine Dion-Guérin, Claire Morère, Christian et Françoise Lamoureux, Alain Legoin, Anne-Marie Meyers, Jean-Loup Seban, Valéry Dvoinikov, Jean-Patrick Connerade, Catherine Raphaël... entre deux conférences sur le haïku et l'influence de la Normandie sur la littérature, tandis qu'étaient représentés la Société des Poètes Français, la Société des Auteurs et Poètes de la Francophonie, la Société des Poètes et Artistes de France, l'Association Francophone des Haïkus, La Forêt des Mille Poètes, La Plume Vagabonde, La Ronde Poétique, La Veillée des Anges, L'Ouvre-Boîte à Poèmes, Le Printemps des Afriques et d'ailleurs, Les Amis de Rimbaud, Fleurs de Banlieue, etc. Une manière d'entretenir un débat collectif, d'écouter plusieurs voix, venant de différents horizons.

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Une de mes critiques sur "Petits riens pour jours absolus" de Guy Goffette, dans le numéro 29 de Rose des temps, qui, privilégiant la qualité dans ses choix, accueille une bonne diversité de plumes.

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"Un chant du bassin" publié dans le V3 de l'anthologie "Flammes Vives" 2017, qui nous offre, comme d'habitude, pour rendre compte de l'étude poétique, une large diversité de tons et d'appréhensions du monde.

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Un des poèmes, tiré de mon dernier recueil, ainsi que ma critique des ouvrages intitulés "A la pleine lune" de Fadwa Souleimane et "Les heures du dragon" de Gabriel Eugène Kopp, publiés dans le n°28 de la revue "Rose des temps". Nous retiendrons les réflexions sur la situation de la poésie, actuellement, la digression sur le haïku de Xavier Buffet, les comptes-rendus de revues, récitals, conférences d'ici et ailleurs.

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Le poème "écrire", un sonnet sur l'art poétique, déjà ancien.

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La pensée du jour.

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"Les flux" publié dans l'Anthologie semestrielle Flammes Vives, qui nous offre un panorama constant et éclectique des activités littéraires ayant trait à la Poésie. On y reconnaîtra notamment Aumane Placide, Jean-Baptiste Besnard, Patrice Dufétel, Jean Moraisin, Jean-Claude Fournier, parmi les noms - et tant d'autres - que l'on a appris à côtoyer au fil des années. 

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Publication d'un de mes haïkus dans le numéro 27 de la revue Rose des temps. Insertion des critiques de recueils de poésie intitulés "Errance à l'os" d'Yves Mabin Chennevière aux Editions Obsidiane, et "Le sang le soir" de Guy Allix, ayant tous deux obtenu un prix de l'Académie Française en 2016. A noter l'intéressante critique de Patrick Picornot sur mon dernier ouvrage.

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Un petit florilège des artistes lauréats de l'Ecole de la Loire.

Un tour de citations.

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Poèmes en aparté.

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ETUDE DE KATAYUN FIRUZI - SUITE

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Grand Prix Marguerite de Valois décerné par l'Ecole de la Loire pour 2017, avec un Prix du Jury de Haïku, un Deuxième Prix de l'Essai pour les "Prolégomènes à une Introduction sur l'Art critique", et un Premier Prix de la Nouvelle, qui m'encouragent à varier mes activités littéraires, notamment au niveau de la prose, après quelques mentions et un accessit aux Arts et Lettres de France.

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"Peinture de la vie quotidienne" dans le numéro 149-150 de "L'Albatros".

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Mon nouveau recueil, "Dans la Gueule du Monde", publié aux éditions Flammes Vives, comportant également "Un bohème affairé dort", Prix Renée Vivien 2015, ainsi qu'une introduction présentant les différents aspects de l'ouvrage, à travers une étude sur l'évolution de la prosodie et de notre approche du genre poétique, qui inclut quelques points d'histoire littéraire, au fil des siècles, jusqu'à aujourd'hui.

Une vaste couleur, poème publié dans le numéro 26 de la "Rose des temps", où j'ai été accueilli dans le comité de rédaction. Note de lecture : Sur la tige de l'amour quand le temps est en vertige de Selmy Accilien, entre des poèmes, des articles et des comptes-rendus d'ouvrages à un rythme quotidien.

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Publication d'un poème dans le numéro 25 de la revue "Rose des temps", qui accueille deux critiques sur le Tiers livre de la reconnaissance de Jacques Réda, et Le ciel sur l'épaule de Patrice Dufétel, ainsi que de La Quadragénaire dans la revue N°147-148 de "L'Albatros", orientée sur le classicisme contemporain.

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PORTRAITS - ETUDE DE KATAYUN FIRUZI

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PREMIER PRIX DE L'ESSAI

 

Aux Arts et Lettres de France, obtention du 1er Prix de l'Essai 2016, avec une réflexion sur la poésie de la vie quotidienne, en plus d'un deuxième prix de poésie néo-classique et d'une deuxième mention pour le sonnet traditionnel. Cette nouvelle récompense oriente mon champ d'investigation vers les autres genres tels que l'essai, le conte et le roman, que je peaufine depuis maintenant une bonne décennie littéraire.

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GRAND PRIX DE LA REGION CENTRE

 

Après le Prix Renée Vivien et le Premier Prix de l'Essai à l'ALF, je viens d'obtenir le Prix du Jury de Poésie libre, les 1er Prix de Citations et images poétiques, ainsi que du Recueil - pour "Jalousies" paru en 2010 -, ce qui m'a permis de décrocher le Grand Prix de la Région Centre à L'Ecole de la Loire.

 

http://www.lecoledelaloire.com/litterature.html

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Un de mes poèmes, Le vin du travailleur, écrit en 2010, ainsi que plusieurs critiques de ma plume, publiés dans la revue sérieuse "Rose des temps", qui s'est récemment étoffée de plus d'articles, de biographies et de recensions d'ouvrages parus dans le cours de l'année. A noter que celle-ci a obtenu de le Prix de la presse poétique 2012 de la Société des Poètes Français.

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"La poésie ? À quoi ça rime ?" Réflexion en commun avec des auteurs provenant de différents horizons, sur la réalité de la place de la poésie en France, dans le numéro 65 du Coin de Table.

Un vieux schéma sur l'évolution de la pensée humaine.

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TYPOFUZE AXIOME / IMAGE Association de MaGe

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PRIX RENEE VIVIEN

 

J'ai obtenu le prix Renée Vivien 2015 pour un ensemble de textes réunis sous un double titre homophone, qu'affectionnait particulièrement Alphonse Allais, à une époque, inspirés par la capitale, le Nord, la Bretagne et la Normandie. Comme il s'agissait d'essais "libres", j'avais tenu à ce que le ton soit plus désinvolte, et l'"univers", absurde, entre quelques envolées lyriques. C'est évidemment un gage de reconnaissance et une marque de respect, que l'on se doit d'accueillir avec autant d'humilité que de sympathie, vis-à-vis du jury, et du milieu artistique.

 

http://academiereneevivien.unblog.fr/category/resultats-des-prix/

MÉDAILLE D'ARGENT DU MÉRITE CULTUREL

 

J'ai reçu la Médaille d'Argent du Mérite Culturel de la part du CEPAL, après avoir été récompensé pour mon premier recueil publié. J'avoue qu'après les années 2004-2005, durant lesquelles j'avais obtenu un Premier Prix et un Grand Prix de Poésie, j'avais passé mon temps à préparer mes futurs ouvrages, maintenant parus entre 2010 et 2015, si bien que j'avais perdu de vue les concours et les prix ; finalement, au-delà de l'honneur et des récompenses, c'est sans doute l'amitié des poètes, écrivains, philosophes, peintres, acteurs et musiciens, qui m'a inspiré pour établir plus de correspondance, maintenant et à l'avenir, en renforçant durablement les liens.

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MENTION D'EXCELLENCE

 

Mention d'Excellence au Centre Européen pour la Promotion des Arts et des Lettres, pour mon premier recueil Jalousies. C'est un ouvrage qui représente la synthèse de nombreuses années d'études, à propos de ce qui permet de conférer la qualité "poétique" à un texte qui prétendrait se distinguer par l'écriture en vers.

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